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  • Zaz ( Isabelle Geffroy) – Éblouie par la nuit

Artiste: Zaz ( Isabelle Geffroy) - Titre: Éblouie par la nuit 

Paroles & Traduction: - Éblouie par la nuit Ci-dessous, vous trouverez les paroles avec la traduction affichées côte à côte! Sur notre site web, vous trouverez de nombreuses autres paroles avec les traductions de ! Consultez nos archives et les autres paroles, par exemple cliquez sur la lettre Z de et voyez quelles chansons nous avons le plus de dans nos archives comme Éblouie par la nuit .

ORIGINAL

Éblouie par la nuit à coups de lumières mortelles,
à frôler les bagnoles, les yeux comme des têtes d'épingles,
je t'ai attendu cent ans dans les rues en noir et blanc ;
tu es venu en sifflant. Éblouie par la nuit à coups de lumières mortelles,
à shooter les canettes, aussi paumée qu'un navire.
Si j'en ai perdu la tête, je t'ai aimé et même pire ;
tu es venu en sifflant. Éblouie par la nuit à coups de lumières mortelles.
Faut-il aimer la vie ou la regarder juste passer ?
De nos nuits de fumettes, il ne reste presque rien,
que des cendres au matin. À ce métro rempli de vertiges de la vie,
à la prochaine station, petit Européen,
mets ta main, descends-la au-dessous de mon cœur. Éblouie par la nuit à coups de lumières mortelles,
un dernier tour de piste avec la mort au bout.
Je t'ai attendu cent ans dans les rues en noir et blanc ;
tu es venu en sifflant. 

TRADUCTION

Éblouie par la nuit à coups de lumières mortelles,
à frôler les bagnoles, les yeux comme des têtes d'épingles,
je t'ai attendu cent ans dans les rues en noir et blanc ;
tu es venu en sifflant. Éblouie par la nuit à coups de lumières mortelles,
à shooter les canettes, aussi paumée qu'un navire.
Si j'en ai perdu la tête, je t'ai aimé et même pire ;
tu es venu en sifflant. Éblouie par la nuit à coups de lumières mortelles.
Faut-il aimer la vie ou la regarder juste passer ?
De nos nuits de fumettes, il ne reste presque rien,
que des cendres au matin. À ce métro rempli de vertiges de la vie,
à la prochaine station, petit Européen,
mets ta main, descends-la au-dessous de mon cœur. Éblouie par la nuit à coups de lumières mortelles,
un dernier tour de piste avec la mort au bout.
Je t'ai attendu cent ans dans les rues en noir et blanc ;
tu es venu en sifflant. 

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