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  • Georg Trakl – Sit30 – Abendländisches Lied

Artiste: Georg Trakl - Titre: Sit30 - Abendländisches Lied 

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ORIGINAL

O der Seele nächtlicher Flügelschlag:
Hirten gingen wir einst an dämmernden Wäldern hin
Und es folgte das rote Wild, die grüne Blume und der lallende Quell
Demutsvoll. O, der uralte Ton des Heimchens,
Blut blühend am Opferstein
Und der Schrei des einsamen Vogels über der grünen Stille des Teichs. O, ihr Krenzzüge und glühenden Martern
Des Fleisches, Fallen purpurner Früchte
Im Abendgarten, wo vor Zeiten die frommen Jünger gegangen,
Kriegsleute nun, erwachend aus Wunden und Sternenträumen.
O, das sanfte Zyanenbündel der Nacht. O, ihr Zeiten der Stille und goldener Herbste,
Da wir friedliche Mönche die purpurne Traube gekeltert;
Und rings erglänzten Hügel und Wald.
O, ihr Jagden und Schlösser; Ruh des Abends,
Da in seiner Kammer der Mensch Gerechtes sann,
In stummem Gebet um Gottes lebendiges Haupt rang. O, die bittere Stunde des Untergangs,
Da wir ein steinernes Antlitz in schwarzen Wassern beschaun.
Aber strahlend heben die silbernen Lider die Liebenden:
Ein Geschlecht. Weihrauch strömt von rosigen Kissen
Und der süße Gesang der Auferstandenen. 

TRADUCTION

Ô le coup d’aile nocturne de l’âme :
Berger, un jour que nous allions par des forêts crépusculaires
Et que le gibier rouge nous faisaient cortège, la fleur verte et la source balbutiante,
Très humblement. Ô, le son immémorial du grillon,
Le sang qui fleurissait sur la pierre sacrificiel,
Et le cri de l’oiseau solitaire sur la paix verte de l’étang. Ô vous, croisades et brûlants martyres
De la chair, chute de fruits pourpres
Le soir au jardin où sont allés jadis dévots les disciples
Aujourd’hui guerriers renaissant de blessures et de rêves d’étoiles.
Ô, la tendre gerbe des bleuets de la nuit. Ô vous, temps du silence et des automnes d’or,
Quand, moines paisibles, nous pressions le raisin pourpre
Et qu’alentour scintillaient collines et forêts.
Ô vous les chasses, et les châteaux ; dans le calme du soir
Quand l’homme dans sa chambre méditait le juste,
Et luttait dans une prière muette devant la face vivante de Dieu. Ô, l’heure amère du déclin,
Quand nous contemplons un visage de pierre dans les eaux noires.
Mais radieux soulèvent leurs paupières d’argent les amants :
Un être. L'encens qui s'exhale des coussins roses,
Et le doux chant des ressuscités. 

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