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Artiste: Adriano Celentano - Titre: Una storia come questa 

Paroles & Traduction: - Una storia come questa Ci-dessous, vous trouverez les paroles avec la traduction affichées côte à côte! Sur notre site web, vous trouverez de nombreuses autres paroles avec les traductions de ! Consultez nos archives et les autres paroles, par exemple cliquez sur la lettre A de et voyez quelles chansons nous avons le plus de dans nos archives comme Una storia come questa .

ORIGINAL

Mi dicevano gli amici: "Apri gli occhi,
quella donna non ti sposa per amore!
Finge un bene che non prova
pensa solo a sistemarsi!" mi dicevano gli amici.
Io con loro mi arrabbiavo,
tutti porci li chiamavo e come no.
Voi parlate per invidia,
non vedete che è sincera e anche se...
anche se lei mi sposasse per i soldi cosa importa a voi? Ma cosa avete dentro al cuore?
belli amici mi ritrovo!
voi parlate e non capite,
non mi importa del suo amore.
A me basta che rimanga una vita insieme a me.
Io l'amo tanto e l'amerò.  Le piacevano i gioielli,
le pellicce di visone, le piacevano i regali.
Alla lunga i suoi capricci
mi asciugavano le tasche e rimasi senza soldi.
Lei mi dice: "Cosa aspetti?
Vuoi mandarmi sulla strada? Pensa un po'!"
L'uomo furbo rischia grosso,
tenta un colpo e gli va bene,
ma però...
mi andò male il colpo gobbo,
una ruota in curva mi scoppiò. E mentre mi portavan via,
c'era un uomo alle sue spalle,
si faceva accompagnare.
Mentre mi poratavan via
io guardavo le sue mani,
che stringevano altre mani,
ed al mio pianto non si voltò.  Stare dentro è un inferno,
uno pensa a tante cose,
mi prudevano le mani.
Ma il mio cuore traboccava
di un amore senza fine
e la volevo perdonare.
Finalmente sono fuori
lei mi dice delinquente,
proprio a me!
Li per li non c'ho più visto,
l'ho afferrata per la gola e sempre più...
la stringevo forte e gli occhi suoi sembravano più grandi... E mentre mi portavan via,
eran bianche le sue mani,
era fredda la sua pelle.
Io guardavo e non capivo.
Mentre mi portavan via,
era mani le sue bianche,
Era pelle la sua fredda.
C'era il treno sulla nebbia.
Mentre mi portavan via,
c'era nebbia sulla fredda,
era treno la sua bianca.
La maestra mi picchiava.
Mentre mi portavan via,
mi picchiava la maestra.
Treno, pelle, bianca, nebbia.
La maestra sulla fredda.
Mentre mi portavan bianca... 

TRADUCTION

Les amis mes disaient : ouvre les yeux,
cette femme ne t'épouse pas par amour.
Elle feint un amour qu'elle n'éprouve pas,
elle ne pense qu'à se caser, me disaient les amis.
Je me fâchais contre eux,
les traitant tous de porcs, non mais !
Vous parlez par envie,
ne voyez-vous pas qu'elle est sincère et même si,
même si elle m'épousait pour l'argent, que cela peut-il vous faire ?
Mais qu'avez-vous dans le cœur,
je me retrouve avec avec de beaux amis [là].
Vous parlez et ne comprenez pas,
son amour m'importe peu,
il me suffit qu'elle reste toute la vie avec moi.
Je l'aime tant et je l'aimerai [toujours].
Elle aimait les bijoux,
les fourrures de vison, elle aimait les cadeaux.
A la longue, ses caprices
me nettoyaient1 les poches
et je fini sans [plus un] sous.
Elle me dit, qu'attends-tu,
tu veux m'envoyer faire le trottoir, j'imagine ?
L'homme futé est prêt à risquer gros.
Il tente un coup et ça lui réussi, mais pourtant,
le coup qui devait être beau et parfait2 tourna mal,
j'éclatai un pneu dans un virage.
Et pendant qu'ils m'emmenaient,
il y avait un homme derrière elle3.
Elle se faisait accompagner.
Pendant qu'on m'emmenait, je regardais ses mains
qui serraient d'autres mains,
et quand je mis à pleurer, elle ne se retourna [même] pas.
Rester enfermer est un enfer,
on pense à tant de choses.
Mes mains me démangeaient,
mais mon cœur débordait
d'un amour infini et je voulais lui pardonner.
Finalement je suis dehors.
Elle me traite de délinquent,
vraiment !4
Sur le coup, j'ai perdu la tête5
je l'ai attrappée à la gorge et de plus en plus [fort]
je l'ai serrée, au point que ses yeux semblaient plus grands.
Et pendant qu'ils m'emmenaient,
ses mains étaient blanches,
sa peau était froide,
je regardais sans plus comprendre.
Pendant qu'ils m'emmenaient,
ses blanches étaient mains
sa froidure était peau
il y avait un train sur le brouillard.
Pendant qu'ils m'emmenaient,
il y avait du brouillard sur la froidure,
sa blanche était un train,
l'institutrice me frappait.
Pendant qu'ils m'emmenaient,
j'étais frappé par l'institutrice,
train, peau, blanche, brouillard...l'institutrice sur la froidure,
Pendant qu'ils m'emmenaient, blanche ... 

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